Vacances j’oublie tout…

Les vacances ont officiellement commencé hier avec notre arrivée dans ma contrée natale : la Charente Maritime.

Les Monstroux sont ravis de retrouver leurs grands- parents, de barboter dans la piscine gonflable et de jouer jusqu’à très tard dans le grand jardin pendant que les « grands » prennent un apéro ( bien mérité) à l’ombre des sapins.

Et puisqu’on change de rythme, on change aussi nos habitudes et on va « oublier » nos fameux biberons du matin. Et oui, à quatre ans et demi et trois ans, les Monstroux boivent encore leur lait du matin dans un biberon, au lit ! Dans un sens ça m’arrange bien, dès les premiers signes de réveil, je descends hirsute préparer les deux biberons et pendant que ces messieurs le boivent dans leur lit, je m’offre un café « tranquille » avant le branle-bas de combat du début de journée.

Terminées ces cinq minutes de calme, ce matin on se lève directement et on commence l’apprentissage du bol. C’est donc sous une pluie fine de chocolat au lait que j’ai recouvré mes esprits embrumés par ma (trop courte) nuit de sommeil après le premier tournoi de Rami, symbole des vacances.

L’avantage de commencer le bol si tard c’est que la motricité est là, la motivation aussi : un deux trois : GO

C’est « sssouette » il faut d’abord mélanger le chocolat et le lait avec une petite cuillère, le breuvage de Petit Monstrou aura été parfaitement homogénéisé par un « touillage » intensif.

Il faut maintenant gouter la mixture : gargl le bol est trop léger, on commence donc par une petite douche au chocolat, mais on ne lâche pas prise, on recommence avec succès.

Et puis voilà Papounet et ses éternelles tartines beurrées , et là Petit Monstroux s’initie avec délice au délicat art bien « frenchie » du « trempage ». Lui qui depuis tout petit a la fâcheuse manie de tout immerger dans son verre ( de l’aliment à l’ustensile, en passant bien sur, par la main entière), il est aux anges.

Je ne suis pas persuadée qu’il ait la même dose de chocolat au lait dans l’estomac, mais en tout cas l’expérience est concluante et je vais pouvoir ranger les fameux biberons au fond d’un placard… avec les trucs catalogués « aukazou »…

Au cas où ? Naaaaaan deux monstroux me suffisent 🙂


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