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Petits meurtres entre voisins

Avertissement : ce texte peut heurter la sensibilité des plus jeunes… A bien y réfléchir, des plus vieux aussi !

Ils s’étaient disputés pour une banale histoire d’enfants bruyants, mais Sophie avait laissé couler et oublié cet accrochage qui datait de plus de 6 mois.

C’était l’anniversaire de son fils cadet, Mars était doux et ensoleillé ils faisaient donc des jeux dans le jardin, courses en sac, corde à tirer, avec moultes cris d’encouragements des équipiers.

Soudain, l’un des invités se plaignit de la tête, quelquechose l’avait cogné et il saignait.

 

Après avoir réconforté et soigné l’enfant, elle trouva dans l’herbe l’objet qui l’avait blessé, un énorme morceau de verre. Elle demanda aux enfants, lequel d’entre eux avait trouvé ce tesson et l’avait jeté sur son camarade, tous nièrent avec ferveur.

Dubitative elle lança l’épreuve suivante qui était une course à l’œuf où chaque équipe devait faire un parcours semé d’embûches en portant un œuf dans une cuillère sans jamais le faire tomber, sous peine de recommencer. Les éclats de rire fusaient, les encouragements et les tentatives d’intimidation de l’équipe adverse aussi, quand soudain, une pluie de tessons de bouteilles et de morceaux de verre s’abattit sur le groupe d’enfant.

Le voisin de derrière, visiblement gêné par le bruit de la fête, lançait des dizaines de morceaux de verres tous plus coupants les uns que les autres par dessus la haie !

 

Affolée, Sophie fit rentrer tous les enfants, s’assura que personne n’était blessé à part un index un peu amoché et elle appela son mari pour lui relater leur mésaventure.

 

Le sang de Paul ne fit qu’un tour et immédiatement il se rendit dans le jardin pour demander des explications à l’agresseur qui, toujours par dessus la haie l’arrosa de projectiles divers et bizarres tous plus dangereux les uns que les autres.

 

L’homme avait clairement perdu la tête et Paul se réfugia rapidement dans la maison avec la ferme intention d’appeler la police, ce qu’il fit au milieu de la fête gâchée et des invités apeurés de son cadet.

 

De sa voix grave et rassurante il réconforta les enfants, le vilain monsieur d’â côté ne les ennuierait plus et la police allait arriver. Oui mais voilà, en pleine campagne, un samedi, le poste de police de garde le plus proche était justement plutôt loin ( réduction du service public oblige).

 

Sophie décida d’amener le gâteau pour détendre l’atmosphère et invitait les enfants à s’installer à table lorsque de violents coups sur la porte d’entrée se firent entendre. Certainement encore ce psychopathe de voisin qui venait chercher la dispute.

 

Paul, bien décidé à le remettre à sa place ouvrit la porte énergiquement mais recula immédiatement de trois pas comme hypnotisé par ce qu’il découvrait.

 

L’homme à la porte était hagard, la bave aux lèvres et après un rictus sadique il commenca à faire tourner une hache en vociférant diverses insultes.

En voulant l’empêcher d’entrer Paul se fit couper deux doigts qu’il regarda, totalement hébété, tomber mollement sous le radiateur de l’entrée, !

 

S’en suivit une bagarre sanguinolante car les phalanges restantes dégoulinaient et éclaboussaient les deux hommes. Mais malgré ses deux doigts manquants, Paul réussit à prendre le dessus et tenta de désarmer son adversaire aux yeux injectés de colère.

 

C’est dans un geste malheureux pour lui retirer enfin sa hache que Paul la planta dans la tête du psychopathe arrosant encore plus copieusement l’entrée d’hémoglobine.

 

L’homme gisait a demi-décapité, saignant comme un poulet pas encore halal, Paul choqué et paniqué par son geste se retourna pour constater que tous les enfants le dévisageaient n’ayant pas perdu une miette du corps à corps sanglant qui venait d’avoir lieu.

 

C’est alors que Sophie, en bonne maîtresse de maison s’adressa en souriant aux enfants : «  vous resterez bien dîner, je pense que je vais préparer un bon bourguignon ».

 

Epilogue : Après avoir fait mijoter et dégusté le voisin, ils décédèrent tous dans les atroces souffrances d’un grave empoisonnement,l’homme était imbibé de médicaments : anxiolitiques, anti-dépresseurs, anti-diarrheïques, anti-fongique, anti-mites, anti-quité… dont le mélange s’avérait un cocktail toxique !

 

Moralité : on dit de gens pénibles qu’ils sont imbuvables, on devrait aussi prévenir que les mauvais voisins ne sont pas comestibles !

 

Mon voisin ce malotru !

Lorsque nous sommes rentrés en France, après 6 mois de camping dans un tout petit appartement en région parisienne, nous avons acheté notre maison en Eure et Loir, dans un lotissement.

Tant qu’à être à la campagne, Mr Poux aurait voulu une maison isolée en pleins champs, mais depuis que nous avons été cambriolés aux USA, j’ai la trouille lorsqu’il n’est pas là et je voulais avoir des voisins proches : nous avons emménagé dans un lotissement.

 

Quelle idée saugrenue me dis-je maintenant ! Entre ceux qui ont mis plus d’un an à nous saluer, celui de droite qui roule comme un taré et préférerait nous rouler sur les pieds plutôt que de ralentir… Celle du bout de la rue qui voulait être ma copine et qui m’appelait trois fois par jour ou qui venait frapper à chaque fois qu’elle passait devant la maison.

On est gâtés !

 

Ceci dit, nous ne sommes pas un cadeau non plus, nous essayons d’être polis avec tout le monde, nous avons sympathisé avec certains voisins, nous ne faisons jamais de soirée bruyante, MAIS nos Monstroux jouent bruyamment ! Grand Monstrou crie beaucoup en jouant et lorsqu’ils sont dans le jardin nous devons régulièrement leur demander de baisser le ton pour ne pas gêner tout le monde.

 

C’est un peu comme la voisine de derrière, dont le jardin est séparé du notre par une grande haie, elle garde des petits qui font beaucoup de bruit en jouant. Parfois ça m’agace parce que j’essaie de me concentrer pendant que les Monstroux sont à l’école, mais je n’ai jamais rien dit, après tout ce sont des enfants !

 

Samedi avait lieu la fête d’anniversaire de Grand Monstrou, j’avais organisé une grande enquête avec enigmes et gages et je me réjouis maintenant d’avoir quasiment tout prévu en intérieur ( à cause de la pluie annoncée) car le SEUL gage que nous avons effectué dans le jardin, s’est plutôt mal terminé.

 

Il faut dire qu’il y avait cinq garçons de 8 ans et un de 6 et demi, tous très enthousiastes, excités et volubiles. Le gage extérieur consistait à ramasser le plus de feuilles possibles en 5 minutes et oui, j’avoue : ils se sont rués dehors en hurlant

 

Là, derrière la fameuse haie du fond du jardin nous avons entendu une voix masculine colérique et très agressive nous dire : «  ouais , tu peux pas crier encore plus fort ? »

 

Les enfants se sont arrêtés net, ne comprenant pas ce qui se passait ni pourquoi on les engueulait ainsi.

 

J’ai essayé de temporiser : «  oh c’est bon c’est une chasse au trésor »

 

Réponse aboyée : «  ouais c’est comme ça tous les week-ends, y’en a marre… »

 

Je cesse de temporiser ( faut pas pousser mémé dans les orties!) et je réponds : «  c’est un peu la même chose en semaine avec les enfants que garde votre femme » ( il s’en fout il ne doit pas être là dans la journée).

 

Et là, mon cher voisin, modèle de diplomatie, de pédagogie et de politesse nous hurle :

MEEEEEEERRRRRDE ! Et il claque sa porte !

 

J’ai arrêté le gage en disant que c’était terminé et j’ai dit aux enfants que comme ils pouvaient le constater, ici les voisins étaient fort sympathiques.

Nous sommes rentrés, l’enquête a continué dans la bonne humeur, MAIS je ne décolère pas !

 

Il faut savoir qu’en plus de bruits de gosses gardés par sa femme, Môssieur nous a gonflé tout l’été à construire son abri de jardin, y compris le dimanche après-midi alors qu’on n’est pas censé bricoler ou tondre ce jour là ( règles du lotissement)

Ils ont également installé sur leur toit une éolienne qui, même si je trouve que c’est une super idée, augmente la pollution sonore à toute heure du jour ou de la nuit. Et comme ici il y a vraiment beaucoup de vent on se dit que si jamais une des pales se décroche un jour, nos enfants n’auront pas intérêt à jouer dans notre jardin à ce moment là, sous peine d’être décapités.

 

Alors nous hésitons…
Est-ce qu’on laisse couler parce que comme me le disait une amie, cette personne est visiblement un être frustré qui ne doit plus avoir de vie sexuelle et défoule sa hargne sur les autres ?

 

Est-ce qu’on lui fait un gentil courrier pour lui demander quel est le programme de maintenance de son éolienne parce que ça nous fait peur ?

 

Est-ce que je l’intimide en lui demandant s’il a bien déclaré son abri de jardin comme l’exige la charte du lotissement ? ( en précisant que ça nous ennuierait de lui faire démonter vu qu’il nous a cassé les oreilles tout l’été).

 

Personnellement je déteste les conflits, je n’ai pas envie d’être en « gueguerre » avec les voisins aussi malpolis et mauvais coucheurs soient-ils, mais je n’ai pas envie non plus de pardonner cette agression verbale envers mes enfants et leurs copains !

 

Que feriez-vous ?

 

Mathilde ( rediff)

Mais pourquoi avait-elle accepté d’aller aider le mari d’une de ses copines, à corriger son mémoire d’Espagnol cet après-midi là ?

Parce qu’elle avait vécu plus de dix ans à Madrid, parce qu’elle aimait rendre service et surtout surtout, parce qu’elle ne savait pas dire non ! C’est à cause de cela qu’elle se retrouvait devant la porte d’un quasi-inconnu par ce bel après-midi ensoleillé, alors que justement ce jour là, elle n’avait pas ses enfants et qu’elle aurait pu tranquillement bouquiner lascivement allongée sur son bain de soleil.

C’est donc bien peu enthousiaste qu’elle sonna à la porte, en espérant que cette relecture ne lui prendrait pas trop de temps.

Lorsqu’il lui ouvrit elle remarqua immédiatement les traits tirés et les yeux cernés de quelqu’un qui est en pleine session d’examens, mais cela ajoutait à son charme. Elle était d’ailleurs surprise de le trouver si attirant soudainement alors qu’elle l’avait croisé plusieurs fois devant l’école où ils avaient échangés des banalités sans qu’elle ne le trouve particulièrement séduisant.

Elle n’avait jamais prêté attention non plus à la chaleur qui se dégageait de son sourire, pourtant elle avait toujours eu un « truc » pour les sourires et le sien était lumineux, frais et terriblement doux lorsqu’il la remercia d’être venue l’aider.

C’est à ce moment précis qu’elle a senti l’attirance, le désir monter en elle. Intérieurement elle se moqua d’elle-même, se comparant à une jeune midinette qui craquerait pour le premier venu, mais définitivement, le trouble était là. Elle avait même l’impression qu’il était partagé, car il était impossible qu’un homme d’une quarantaine d’années, en pleine ascension sociale, soit intimidé à ce point par son arrivée.

Il lui offrit un thé, qu’il lui servit avec des sablés, et ils s’installèrent devant l’ordinateur pour commencer leur lecture. Bien évidemment, lire à deux sur le même écran exige une promiscuité propice aux frôlements d’épaules, ou de mains sur la souris, et chaque fois il s’excusait doucement et s’éloignait un peu pour se rapprocher au paragraphe suivant.

Lorsqu’elle réfléchissait, elle tortillait inconsciemment une de ses boucles de cheveux, il lui fit remarquer que c’était amusant en remettant une mèche à sa place tout doucement, presque tendrement, lui frôlant la joue au passage. Elle reçut comme une décharge électrique à ce contact, et eut très envie qu’il recommence. Elle se traita de nouveau de midinette car vraiment , elle ne savait pas ce qui lui arrivait, était-ce le temps orageux qui lui faisait perdre ses repères au point de s’émoustiller ainsi pour un inconnu ? Même pas un inconnu, pire, le mari d’une de ses copines !

Le mémoire était plutôt bien rédigé, elle n’avait à corriger que quelques erreurs de concordance des temps, mais à chaque correction il hochait la tête comme un enfant pris en faute, avec une moue absolument adorable, qui lui donnait envie de le consoler.

Il n’avait pas terminé sa conclusion, elle se mit donc à taper quelques idées qui lui paraissaient convenir, il lisait par-dessus son épaule et elle pouvait sentir son souffle chaud dans son cou.

Lorsqu’ils décidèrent ensemble que la conclusion ferait l’affaire, il la remercia chaleureusement pour son aide, riant de lui-même, de son incapacité à terminer seul ce mémoire, de son manque de motivation pour cette formation interne qui lui permettrait pourtant une belle promotion.

Il lui offrit de nouveau un thé, cette fois ci dans le salon et s’installa juste à côté d’elle sur le canapé ou ils parlèrent de tout et de rien, surtout de rien d’ailleurs, comme pour retarder le moment de se quitter. Cette fois c’étaient leurs genoux qui se touchaient et chaque fois, elle se sentait troublée.

Jetant un œil à sa montre, elle annonça qu’elle devait rentrer, il avait l’air désolé en la raccompagnant jusqu’à la porte. Au moment de la laisser partir, il lui remit sa mèche de cheveux en lui caressant cette fois volontairement la joue.

« Vous êtes sûre que vous ne voulez pas rester un peu ? »

Elle n’avait jamais su dire non …

Les Up and down du mois d’Octobre

Up : les monstroux ont eu des vacances, ça tombait à pic ils étaient très fatigués et donc très fatigants !

Down : mes différents projets ont subi 10 jours de pause forcée, je croule sous les trucs à faire absolument-maintenant ! ( du coup je néglige aussi mon blogounet : bouhh)

Up : Depuis le 19 octobre 11h56 Petit Monstrou n’a plus d’amygdales

Down : J’ai accumulé les nuits écourtées par ses pleurs, j’ai chopé de nouvelles rides ( BBflo tu pourrais partager ta crème miracle ?)

Up : il n’aura plus jamais d’angine

Down : ce petit cochon est déjà  très enrhumé… il va bien nous choper un truc… Si je le ramène  pour les végétations est-ce que je peux aussi éviter les rhumes ?

Up : Le Plombier est venu, le chauffe-eau ne fuit plus.

Down : Mon compte en banque lui, a eu une grosse fuite que dis-je, une hémorragie !

Up : Pendant les vacances, Grand Monstrou après un mois et demi de CP , s’est mis à TOUT déchiffrer.

Down : il faut que j’arrête de laisser divers petits mots à mon Poux !

deux jours plus tard, devant ledit voisin " c'est lui monsieur Boulet ?"...

Mathilde

Mais pourquoi avait-elle accepté d’aller aider le mari d’une de ses copines, à corriger son mémoire d’Espagnol cet après-midi là ?

Parce qu’elle avait vécu plus de dix ans à Madrid, parce qu’elle aimait rendre service et surtout surtout, parce qu’elle ne savait pas dire non ! C’est  à cause de cela qu’elle se retrouvait devant la porte d’un quasi-inconnu  par ce bel après-midi ensoleillé, alors que justement ce jour là, elle n’avait pas ses enfants et qu’elle aurait pu tranquillement bouquiner lascivement allongée sur son bain de soleil.

C’est donc bien peu enthousiaste qu’elle sonna à la porte, en espérant que cette relecture ne lui prendrait pas trop de temps.

Lorsqu’il lui ouvrit elle remarqua immédiatement les traits tirés et les yeux cernés de quelqu’un qui est en pleine session d’examens, mais cela ajoutait à son charme.  Elle était d’ailleurs surprise de le trouver si attirant soudainement alors qu’elle l’avait croisé plusieurs fois devant l’école où ils avaient échangés des banalités sans qu’elle ne le trouve particulièrement séduisant.

Elle n’avait jamais prêté attention non plus à la chaleur qui se dégageait de son sourire, pourtant elle avait toujours eu un «  truc » pour les sourires et le sien était lumineux, frais et terriblement doux lorsqu’il la remercia d’être venue l’aider.

C’est à ce moment précis qu’elle a senti l’attirance, le désir monter en elle. Intérieurement elle se moqua d’elle-même, se comparant à une jeune midinette qui craquerait pour le premier venu, mais définitivement, le trouble était là. Elle avait même l’impression qu’il était partagé, car il était impossible qu’un homme d’une quarantaine d’années, en pleine ascension sociale, soit intimidé à ce point par son arrivée.

Il lui offrit un thé, qu’il lui servit avec des sablés, et ils s’installèrent devant l’ordinateur pour commencer leur lecture.  Bien évidemment, lire à deux sur le même écran exige une promiscuité propice aux frôlements d’épaules, ou de mains  sur la souris, et chaque fois il s’excusait doucement et s’éloignait un peu pour se rapprocher au paragraphe suivant.

Lorsqu’elle réfléchissait, elle tortillait inconsciemment une de ses boucles de cheveux, il lui fit remarquer que c’était amusant en remettant une mèche à sa place tout doucement, presque tendrement, lui frôlant  la joue au passage.  Elle reçut comme une décharge électrique à ce contact, et eut très  envie qu’il recommence. Elle se traita de nouveau de midinette car vraiment , elle ne savait pas ce qui lui arrivait, était-ce le temps orageux qui lui faisait perdre ses repères au point de s’émoustiller ainsi pour un inconnu ? Même pas un inconnu, pire, le mari d’une de ses copines !

Le mémoire était plutôt bien rédigé, elle n’avait à corriger que quelques erreurs de concordance des temps, mais  à chaque correction il hochait la tête comme un enfant pris en faute, avec une moue absolument adorable, qui lui donnait envie de le consoler.

Il n’avait pas terminé sa conclusion, elle se mit donc à taper quelques idées qui lui paraissaient convenir, il lisait par-dessus son épaule et elle pouvait sentir son souffle chaud  dans son cou.

Lorsqu’ils décidèrent ensemble que la conclusion ferait l’affaire, il la remercia chaleureusement pour son aide, riant de lui-même,  de son incapacité à terminer seul ce mémoire, de son manque de motivation pour cette formation interne qui lui permettrait pourtant une belle promotion.

Il lui offrit de nouveau un thé, cette fois ci dans le salon et s’installa juste à côté d’elle sur le canapé ou ils parlèrent de tout et de rien, surtout de rien d’ailleurs, comme pour retarder le moment de se quitter. Cette fois c’étaient leurs genoux qui se touchaient et chaque fois, elle se sentait troublée.

Jetant un œil à sa montre, elle annonça qu’elle devait rentrer, il avait l’air désolé en la raccompagnant jusqu’à la porte. Au moment de la laisser partir, il lui remit sa mèche de cheveux en lui caressant cette fois volontairement la joue.

«  Vous êtes sûre que vous ne voulez pas rester un peu ? »

Elle n’avait jamais su dire non …