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Séquences émotions à Los Angeles

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Photo prise par Grand Monstrou

Pour notre circuit, il aurait été beaucoup plus simple et rapide d’atterrir à Las Végas, d’y passer une soirée à visiter le strip et de repartir ensuite vers le Grand Canyon.

Mais comme vous le savez peut-être, les monstroux sont nés à Los Angeles et nous ne pouvions pas partir aux USA sans leur montrer : leurs premières maisons, le petit parc que nous fréquentions et où Grand Monstrou a découvert sa première balançoire à coup de grands fous-rires, etc.

Notre premier jour à Los Angeles fut donc consacré à cela, découvrir la première maison du bonheur :

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 C’est donc ici que Grand Monstrou a passé la première année de sa vie, les habitants étaient présents mais aucun de nous n’a osé sonné pour leur demander de montrer le jardin ou l’intérieur de la maison. Nous nous sommes donc contentés de l’extérieur et nous sommes partis vers le parc.

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Vous voyez bien, par 26 degrés Petit Monstrou est en polaire.

Le parc et surtout l’aire de jeu a été rénové depuis notre retour en France mais les Monstroux étaient ravis de pouvoir se défouler un peu

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et de découvrir les écureuils du parc qui sont à peine sauvages tant ils sont habitués à être nourris par les gens qui viennent pique niquer au parc toute l’année.

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Ensuite nous avons emmené Petit Monstrou voir la maison ou il est né ( enfin il est pas né dedans).

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Pour la petite anecdote, on s’est carrément perdus pour y aller, nous n’y avions passé qu’une année et du coup ni Mr Poux ni moi ne nous souvenions de l’adresse ou de comment s’y rendre !

On a réussi à la retrouver après quelques émotions car Petit Monstrou était super frustré de ne pas pouvoir voir sa maison à lui.

C’était doux de revoir nos maisons et émouvant de les faire découvrir à nos enfants qui n’en avaient aucun souvenir car nous sommes rentrés en France quand ils étaient encore petits.

Et pour terminer la soirée dans le même registre, nous avons retrouvé des amis chers pour une soirée au resto.  Des amis qu’on ne voit plus qu’une fois par an et avec lequel pourtant, à chaque fois qu’on se retrouve, c’est comme si on s’était quittés la veille !

Et comme à chaque fois, lorsque nous les avons laissés devant le restaurant, j’ai été assaillie par une énorme boule de cafard, mais l’aventure du grand Ouest ne faisait que commencer.

Bref, j’ai emmené les enfants au rugby

rugby

 

Samedi dernier à Chartres avait lieu le match « France-Galles » des moins de 18 ans et j’avais promis aux Monstroux de les y emmener leur papa n’étant pas disponible.

Au moment de partir, je dois avouer que je n’étais pas motivée du tout j’avais dix millions de choses à faire ( sieste, Prix Audiolib, sieste, repassage, sieste, ménage) et je pensais m’ennuyer sec au match. J’avais même emporté un bouquin !

C’était sans compter sur l’ambiance de folie qui régnait au stade, attention, une bonne ambiance, pas d’animosité, respect de l’adversaire, applaudissements lorsqu’un Gallois blessé se relevait ( on a quand même constaté qu’ils étaient un peu fragiles sur les bords les petits Gallois).

Bref, on était au Rugby, pas au foot quoi…

Et puis juste devant nous il y avait la Bandas, qui ajoutait à la bonne ambiance avec des musiques entrainantes, festives… Nous n’avons pas vu passer la première mi-temps et nous avons profité du concert pendant la pause des joueurs puisque la Bandas s’est du coup, tournée vers nous.

Bandas

Les monstroux ont adoré, même si Petit Monstrou a un peu décroché en seconde partie de match et moi j’ai beaucoup apprécié aussi

– Les belles cuisses ( rhoo ça va hein ils n’ont qu’à pas se promener en short)

– le mélange des couleurs : comme ils persistent à s’empiler tout le temps, dans tous les sens, on dirait des légos rouges et bleus… ( ça se voit que je suis une maman ?)

– Les belles actions ( attention mesdames, ces « petits » de moins de 18 ans sont de vrais gros bestiaux qu’on ne doit pas s’amuser à contrarier tous les jours).

– Et bien entendu notre victoire 18 à 17, pas écrasante comme victoire mais on était un peu mal partis.

Nous sommes repartis enchantés,  criant  « allez les bleus » à chaque virage pendant tout le trajet et j’ai raconté aux Monstroux que le Rugby est moi ça durait depuis longtemps.

En effet, toute petite, j’accompagnais presque tous les dimanches, mon Papounet  au stade, pour regarder le match de Rugby. Pour vous dire la vérité je n’y connaissais pas grand chose en Rugby mais étant fille unique, trainer au stade était ma seule chance de croiser des copains ou copines le dimanche.

Pas de bandas bien sûr dans mon petit village natal, mais beaucoup de beaux matchs, même si clairement je n’étais pas apte à en juger.

 

Depuis les enfants font du rugby-catch dans le jardin et je stresse car ils ont quand même quelques kilos d’écart, la prochaine fois je les emmènerai voir un spectacle de médiation plutôt…

 

Il y a 10 ans, un mariage à Beverly Hills.

Il y a dix ans nous étions là :

Au « City Hall » de Bervely Hills, nous n’étions que tous les deux, par choix, car nous savions que nous allions nous remarier en France devant notre famille et nos amis.

Tu avais mis un beau costume, j’avais une robe de soie bleue, simple légère car il faisait déjà bien chaud en ce 21 Mars 2002.

C’était un jeudi. Je m’en souviens car ce matin là, comme chaque jeudi j’étais allée à ma classe de Pilate, histoire de ne rien changer aux habitudes, de ne pas donner à cette  » formalité » plus d’importance qu’il n’en fallait. Après tout ce mariage là n’était que la répétition de celui d’Août en France, et surtout nous ne croyions ni l’un ni l’autre à cette institution. Une sombre histoire d’impôts, d’assurance maladie nous avait convaincus d’aller officialiser notre relation.

Comme chaque jour  tu étais parti au bureau, j’avais suivi ma classe de gym, et nous nous étions retrouvé à la mi-journée, avec notre   » application » de mariage ( payante bien sûr) dûment remplie pour passer devant l’employé qui nous marierait.

L’édifice majestueux de la mairie  nous avait quand même mis un peu la pression, mais en constatant que nous devions nous tenir sous une pergola de fleurs en plastiques pour être mariés, tous les deux nous avions souri et pensé à la même chose : le Kitch existait aussi à Bervely Hills.

Et puis tu as lu les vœux qu’on nous avait fourni car nous n’en avions pas écrits, et chaque centimètre de ma peau, chaque millimètre devrais-je dire, s’était soudainement recouvert d’une chair de poule accompagnée de frissons.

C’est en larmes, des trémolos dans la voix que j’ai péniblement articulé :  » I, Béatrice, take you Mr Poux to be my lawful wedded husband, to have and to hold, from this day forward, for better , for worse, for richer, for poorer, in sickness and in health, until death do us part. »

Parce que même sous les fleurs en plastique, même si nous ne croyions pas au mariage, c’était LE jour de notre engagement officiel, le jour où l’on s’engageait à se supporter l’un, l’autre malgré les coups bas de la vie, ses aléas, et malgré tous nos défauts (que tu as en bien plus grand nombre que moi évidement).

Deux monstroux plus tard et avec deux mois de retard je te souhaite de joyeuses noces d’étain mon Chéri ! Que la santé nous permette de fêter ensemble nos noces d’Or…

Et vous votre mariage c’était comment ? C’était où ? Quand ?


Bienvenue au bloc

Le mot de la semaine pour les défis du jeudi organisés par LuckySophie  et cette follasse de Crisproll  c’est : bloc…

Alors bien sûr j’aurais pu vous parler de ma passion pour les blocs-notes qui fleurissent absolument partout chez moi mais qui se planquent sadiquement dès que je suis au téléphone et que je veux noter quelque chose. D’ailleurs c’est le même combat pour les stylos, je pense à un envoûtement de toute la maison et j’envisage de faire comme mes monstroux c’est à dire écrire directement sur la nappe.

Non, depuis quelques temps lorsqu’on me dit bloc, je pense tout de suite « opératoire » et à mon arrivée assez lamentable au bloc de l’institut Monstsouris.

Je souffrais comme je n’avais jamais souffert et j’alternais les pleurs silencieux et les gémissements quand un grand gaillard grisonnant s’est approché de la table où l’on m’avait déposée ( oui, déposée, comme un gros paquet que j’étais), il m’a souri et m’a dit «  Bienvenue au bloc Madame »

Avec le recul je trouve ça un peu caustique le coup du bienvenue, ça fait même un peu Spa, genre,j’étais là pour un massage Californien à 4 mains… En même temps vu le nombre de personnes qui tournaient autour de moi s’ils m’avaient massée ça aurait sûrement été topissime ! ( le spa remboursé par la sécu…et hop le trou !)

Ensuite ils m’ont demandé mon nom afin de ne pas me retirer un appendice quelconque alors que je n’étais pas là pour ça, et une jeune femme m’a demandé si j’avais des allergies connues.

Je suis tellement conditionnée par cette question depuis 12 ans que j’ai répondu machinalement : « oui, je suis allergique au gluten ». Elle a éclaté de rire en me disant qu’ils n’avaient pas l’intention de me servir des pâtisseries ( mais bon, il y a du gluten dans 5 médicaments sur 10).

N’empêche que de la voir rire et plaisanter m’a fait du bien, la vie continuait même si la mienne risquait fort de s’arrêter d’ici peu.

Elle m’a demandé si j’avais d’autres allergies alors j’ai répondu «  je crois que je suis allergique au bloc opératoire…».

Eclat de rire général, ils ont tous répliqués « ah mais nous aussi ! », la jeune femme m’a dit «  rendez-vous compte, j’en ai encore pour 30 ans de bloc », et le grisonnant d’ajouter «  et moi 20 ».

Et même si je crevais de trouille (et pas que), que l’ambiance soit ainsi détendue, que tout le monde plaisante ainsi m’a rassurée… Et au moment où on allait m’endormir, la jeune femme à qui il restait 30 ans de bloc me tenait la main en me disant « vous allez-voir tout va bien se passer »…

Alors en ce moment quand je lis «bloc », je ne pense pas à mes blocs-notes, ni que je dois être gonflée à bloc pour battre mes fils à la course mais à tous ces gens qui tous les jours, sauvent des vies dans les blocs opératoires.

Merci encore Alessandro et toute son équipe !

Vous avez vos papiers ? ( rediff)

 

Ce matin, il ne fait pas beau, le jardin est détrempé par la pluie de cette nuit, et mes adorables enfants commencent à être particulièrement bruyants.

Je décide de les emmener au Mc Do, nous partirons tôt afin qu’ils puissent bien jouer et s’ouvrir l’appétit pour le repas super déséquilibré que nous prendrons là-bas.

J’emmène mon ordi ( il parait que là-bas la connexion marche bien) et au cas où, un bon bouquin, une lime à ongles, des lingettes, de l’eau, des kleenex, de l’arnica en crème, en granulés… bref me voici équipée d’un gros sac à dos dans lequel il y a TOUT sauf .. mes papiers.

Ce n’est pas très grave, j’en ai pour moins de 10 mn pour arriver au Mc Do et puis je suis toujours très prudente (mais si !).

Garglll nous ne sommes même pas sortis du village que les gendarmes me font signe de me garer sur le côté ; et là, bien sur, je pense à mes papiers, sagement rangés dans mon sac à main. Le jeune contractuel n’a pas l’air commode du tout, encore moins quand j’ouvre la fenêtre pour lui dire « je n’ai pas mes papiers ». Et là je commence à baratiner, le mc-do, les enfants excités, tout le petit matériel et zou, les papiers sont restés dans l’entrée dans le sac à main. J’en rajoute et je tartine ; il faut bien que ça serve d’être bavarde !

Mon gendarme se radoucit et m’accorde 10 mn pour lui ramener mes papiers, ouf : demi-tour.

REGARGLL je réalise en rentrant chez moi que je vais chercher des papiers qui ne sont pas en règles ! En effet depuis deux ans que je suis installée ici, je n’ai toujours pas changé mes plaques d’immatriculation ni ma carte grise. Je calcule que trois fois 11 euros pour absence de permis, assurance et carte grise ça fait moins cher que les 90 euros prévus pour ceux qui ne font pas leur changement d’adresse dans le mois imparti.

Bon de toute façon je n’ai pas le choix, j’ai dit que je revenais, j’y vais. Ils sont trois maintenant, il y a mon gendarme pas commode, un tout jeune et un autre grassouillet à la mine bon enfant. Je ré-explique mon oubli « exceptionnel- inhabituel -que je ne referai plus jamais-jamais-je-l’jure-m’sieur » (je ne prends quasiment jamais mon sac à main donc jamais mes papiers non plus). Mr « Pacomode » inspecte les documents, et me demande de patienter, il va vérifier.

Pendant ce temps je fayote ( même pas honte) avec le jeunot et le grassouillet , je leur présente les monstroux ( toujours pas honte) qui sont à l’âge innocent où l’on apprécie encore les képis . J’en profite bien évidemment pour caser que je suis en train d’emménager ( ça pourra toujours servir si « pacomode » voit que mon assurance est dans le 28 et ma carte grise dans le 17). Grassouillet m’explique que j’ai un mois pour faire le changement.

Je souris : « ouf je pensais que c’était seulement deux semaines »

-« non, c’est un mois et le mieux c’est d’aller à la préfecture début Aout, vous verrez c’est plus rapide » ( Ben ça tombe bien début aout ça fera tout juste deux ans et UN MOIS que je dois faire ce P…. de changement de carte grise).

Bref, on est presque potes, ne manque plus que le café, ils me félicitent même d’avoir des sièges autos pour mes enfants. J’évite cordialement de dire « oui d’habitude je les transporte dans le coffre, mais là, vous voyez j’ai des cagettes, y’a pas la place » pourtant ça me tente. Mais bon, je n’ai pas fait l’école de gendarmerie, je ne sais pas s’ils ont vraiment beaucoup d’humour.

« Pacomode » revient et me dit : « Madame vous n’avez plus de permis »… je bredouille : « comment ? Hein ? quoi ? » et là Grassouillet pouffe : « mais non Madame, c’est une blaaaague ».

Finalement ils ont de l’humour ces messieurs, ce n’est juste pas le même que le mien !

Avec tout ça, nous sommes arrivés au Mc Do juste avant le « rush » et nous avons donc pris le « joyeux repas » tout de suite. Comme d’hab, ils n’ont rien mangé ou presque, trop pressés d’aller jouer, mais bon je n’y peux rien, ce sont les gendarmes qui m’ont retardée !

Les enfants devinez quoi ? Demain je vous emmène visiter la préfecture ! ( ou alors j’attends début Août, après tout, j’ai un mois pour le faire).

La marchande de mots

Début Octobre nous sommes allés assister à un spectacle offert par notre bibliothèque locale (et donc par la municipalité) : La marchande de mots par la compagnie Eurélienne : Rockybulle .

Autant le dire tout de suite, ce spectacle d’une cinquantaine de minutes est un véritable «  délice » ( coucou Angélita ! ).

Comme je suis bénévole à la bibliothèque on m’avait demandé d’assurer le service d’ordre de faire entrer en priorité les personnes qui s’étaient inscrites, la salle du spectacle étant assez petite. Évidemment, j’en ai profité pour demander ses papiers au policier municipal de la ville ( niak niak chacun son tour !).

Non, sans rire, j’appréhendais parce pendant que je cochais les noms des arrivants pour voir s’il nous resterait de la place pour les personnes non inscrites, je n’étais pas avec mes monstroux que j’avais installés au premier rang ( l’avantage d’être là en premier). Et du coup j’avais un peu peur qu’ils fassent le bazar, ou qu’ils se battent comme des chiffonniers, bref qu’ils se fassent remarquer pendant le spectacle.

Mais en fait, ce spectacle «  tout public dès 7 ans » était tellement prenant, vivant, passionnant, amusant et dynamique que du fond de la salle j’ai vu mes monstroux littéralement scotchés pendant 50 mn ( j’ai même envisagé de louer l’actrice pour les longs week-end pluvieux !).

Alors bien sur la marchande de mots vend des.. MOTS ! pas des jeux (enfin  si mais… de mots), pas des sucreries ( mais des mots doux : oui ), simplement des mots pour tous les jours, toutes les occasions et tous les âges.

Nous avons bien sûr entendu parler des mots « magiques », j’ai fortement apprécié l’introduction des gros mots avec un truc du genre «  vous savez, quand Papa bricole… ».  Tous les enfants ont participé gaiement, ou tapé des mains en mesure quand l’actrice chantait, c’était un spectacle vraiment emballant.

ET le petit plus… c’est  que la marchande s’était fait voler tous les mots pour « vivre ensemble », elle a laissé une enveloppe à la bibliothécaire « Chef » pour qu’on lui renvoie si on les retrouvait.

Alors dans l’après midi, puis pendant le dîner, les monstroux enthousiasmés cherchaient ces fameux mots. Le premier que nous avons trouvé c’est ( bien sûr) se disputer, parce que quand on vit ensemble, forcément ça arrive, surtout si on est deux monstroux issus du mélange d’un Poux et d’une Peste. Forcément pour régler la dispute nous avons déniché un autre mot pour « vivre ensemble » :  partager ! Mot archi connu des monstroux mais parfois bien difficile à appliquer..

Et le soir au moment de se coucher  Grand Monstrou  m’a annoncé : Chatouiller. Je n’ai pas vu tout de suite en quoi c’était un mot pour «  vivre ensemble » alors il m’a expliqué :

«  Mais Maman, pour les chatouilles il faut forcément être deux : un qui chatouille et un qui rigole ! »

Délicieux non ? Vous auriez pensé à ça vous ?

Les « up and down » de Tunisie

¤Up : La mer est superbe, chaude et limpide.

¤Down :  C’est beaucoup plus pratique pour voir les méduses : trois piqûres lors de la première baignade.

¤Up : Grâce au super CE de Mr Poux, nous sommes dans un  » all-inclusive » , les repas et l’eau potable sont donc gracieusement fournis.

¤Down : c’est la crise ma bonne dame, on nous accorde grassement un litre et demi d’eau par jour et par chambre…C’est à peu près ce que je bois en un après-midi par climat tempéré… ça ne va pas suffire !

¤Down ou up ou hips : comme l’alcool est gratuit, on se SACRIFIE et dans la journée on tourne aux cocktails pour économiser l’eau pour les enfants. ( Je pense que sur ce coup là on devrait nous accorder le prix de pochtrons parents de l’année).

¤Down : les moustiques sont très virulents

¤Up : Lorsque je l’ai rencontré, Mr Poux m’a dit  » moi j’aime bien faire les vitres » et  » ne t’inquiète pas s’il y a un moustique dans une pièce il est pour moi ». Alors je ne l’ai JAMAIS vu faire une vitre ( il doit penser que nos fenêtres sont auto-nettoyantes), par contre, il y a une justice en ce bas monde, les moustiques Tunisiens se sont déchainés presque exclusivement sur lui.

¤Down : Après deux jours à faire l’appât à moustiques, mon Poux n’était plus qu’une énorme boursouflure « enveloppée », malheureusement, incapable de souffrir en silence… j’ai envisagé de l’inscrire lui aussi au mini-club !

¤Up : Les enfants adorent le mini-club, nous AUSSI !

¤Down : Comme prévu les animatrices ont du trouver leur diplôme d’animation dans un oeuf kinder : je ne suis pas complètement rassurée…( je bois donc AUSSI pour oublier !).

¤Down : Non seulement le personnel n’est pas aimable mais en plus, pour la plupart, ils sont hyper machos

¤Up: Nous avons pris un malin plaisir à leur expliquer que dans notre famille c’était moi qui décidais !

¤re-Up: Il y a un pauvre serveur qui ne s’en est pas remis, pendant tout le reste du séjour il m’a regardé de travers en marmonnant : j’ai adoré !

¤Up : La nourriture est excellente, nous n’avons pas été malades du tout

¤Down : les enfants un peu quand même, très certainement à cause de l’eau des glaçons… ( Nous aurions peut-être du leur servir un peu de vodka pour tuer les bactéries des glaçons mais nous aurions perdu notre statut de parents de l’année).

¤Down : Petit Monstrou ne fait pas toujours la sieste, il est épuisé et va forcément nous faire son  » Pierre Richard » à un moment ou à un autre…

¤Up : nous SI, on a beau savoir que le sommeil perdu ne se rattrape pas, on a fait nos marmottes quasiment chaque après-midi.

¤Down : Petit Monstrou a fait son Pierre Richard comme prévu, mais personne ne nous a prévenus… nous atterrirons aux urgences dès notre retour ( billet à suivre GROOOARR).

Revenez vite pour la suite 🙂