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l’étranger (seconde version)

 

 

Je vous le dis le monde part en couille, on ne peut même plus proposer son aide sans attirer les soupçons ! Je dois reconnaître que ma peau basanée et mon œil au beurre noir ne jouent pas en ma faveur, mais aujourd’hui j’avais décidé d’être gentil !

Devant moi à la caisse, une frêle Mamie toute tremblante (parkinson peut-être) qui peinait à ranger ses courses, qui peine ensuite à retrouver sa carte de fidélité, et sa carte bleu enfoncée tout au fond de la poche intérieure de son manteau.

J’étais pressé mais je ne me suis pas énervé parce que je l’ai trouvée belle, belle de cette longue vie qui s’affiche en lignes discontinues sur son visage, belle parce que frêle et fragile et pourtant autonome. Elle est partie avec son caddie plein et clairement on ne savait pas qui tenait l’autre, dehors il y avait une tempête de vent et je me suis dit qu’elle allait certainement s’envoler.

Puis j’ai réglé mes achats et je suis sorti reprendre mon scooter ( enfin celui de Momo parce que comme je n’ai plus de boulot je n’ai plus, non plus, de véhicule).

La petite Mamie était là, elle ne parvenait pas à ouvrir son coffre, le vent la bousculait et clairement elle était bien trop menue pour retenir son caddie et soulever son immense coffre en même temps.

Mon sang n’a fait qu’un tour, je suis allée l’aider, en souvenir de ma grand-mère au bled, et puis aussi parce que même si j’ai fait un maximum de conneries ces derniers temps, je le sais on ne laisse pas quelqu’un dans l’embarras.

Oui mais voilà quand je me suis approché j’ai vu la terreur dans ses yeux, d’instinct elle a lâché le coffre rebelle et agrippé son sac à main.

Mon sang n’a fait qu’un tour, j’en avais ras le bol de ce délit de sale gueule, des gens qui ont peur de moi parce que je suis jeune, mal sapé, basané. Du coup j’ai pété un plomb et au lieu de l’aider, ce que j’étais vraiment venu faire, je lui ai balancé son coffre sur la gueule.

Scroooontch a fait sa boite crânienne en explosant et cette grosse salope de mémé raciste m’en a foutu plein les chaussures… je peux vous confirmer que la matière grise est bien grise mais y’avait des trucs blancs aussi, peut-être que la vieillesse décolore la matière grise ou alors on a une matière blanche. Faudra que je regarde sur la tablette de Momo un de ces soirs.

Bon, en attendant la vieille ne bouge plus du tout et en plus elle en fout partout, de la matière grise, du sang, je crois même qu’elle s’est pissé desssus. Çà ne m’a même pas calmé, je pense à ce gâchis, on essaie d’être gentil et puis voilà, à cause des préjugés on en arrive là, une petite mamie déchiquetée du crane, carrément morte, sur le parking d ‘intermarché et oh misère, aucun mousquetaire pour la sauver. Je reconnais bien ce goût de métal dans ma bouche, c’est un mélange de tension mais aussi de plaisir, plaisir de la voir là tout molle, inerte, avec sa boite crânienne ouverte et dégoulinante. Y’a pas à dire, les vieux c’est dégueu !

Bon enfin là je suis bien emmerdé, j’ai quand même un vieux cadavre sur les bras, je jette un œil autour de moi : personne ! Tu m’étonnes avec cette tempête les gens sont soit chez eux, soit dans le magasin à attendre une accalmie pour sortir. Je hisse la mémé dans son coffre, et bien que morte c’est un poids plume… il faut que je me calme et surtout que je me barre d’ici mais ça m’a tellement énervé cette histoire, moi qui voulait aider, rendre service… je jette un œil dans son caddy à côté du véhicule…Merde… des boites pour chats, chiens … moi qui déteste les gens j’ai un penchant pour les animaux qui nous aiment d’un amour inconditionnel quelle que soit notre couleur, notre humeur.

Avant d’atterrir chez Momo, j’avais un appart et un chat, le chat pas égoïste comme ce qu’on peut dire des chats, non celui là il était top … Genre il venait me faire des câlins quand il sentait que j’étais pas bien et à ce moment là pas bien, je l’étais souvent.

Là je suis en train de redresser ma vie, enfin c’était juste avant de tuer la mamie quoi … J’avais même décidé d’être gentil, d’aider « mon prochain » ( ah ah parole du curé de la zonzon ou j’ai tiré quelques mois, une sombre histoire d’autoradios stockés dans mon appart). Saviez-vous qu’en zonzon ils vous forcent à voir des curés ?

Merde je m’égare, faut gérer la crise là, la Mamie est rangée dans le coffre, j’ai un caddie plein de bouffes pour animaux et mes empreintes sont partout sur la bagnole vu que JE VOULAIS L’AIDER.

Je rouvre le coffre, cette fois avec une feuille des 6 rouleaux de sopalin que la Mamie avait acheté. Je fouille son sac, trouve son adresse, nettoie le coffre et le referme. Purée j’espère que j’ai bien enlevé toutes mes empreintes. Est-ce que le sopalin ça vire les empreintes ? Ils pourraient le dire à la pub quand même…

J’embarque dans mon sac à dos le maximum de boites chats/chien que je peux et je file à son adresse. Oh merde il y a la dedans une dizaine de chats ( je n’ai pas réussi à les compter) et surtout trois chiens, un petit et deux énormes. Je stresse, je vais me faire dépecer c’est sur.

Même pas, les chiens me font la fête comme si j’étais venu tous les jours, en fait ils attendent de pouvoir manger .. l’appart est coquet, bien rangé et il serait agréable si ce n’est pour l’odeur de pisse qui s’infiltre dans mes narines et me brûle tous les sinus à tel point que je regarde s’ils ne sont pas tombés par terre !

Bon, je ne suis pas sans cœur, et surtout le trajet en scooter m’a aéré la tête, j’ouvre des boites et des boites et tout ce petit monde s’entasse dans la cuisine pour manger. Dévorer serait plus adapté si j’avais étudié le Français mais la prof du collège était si bonne qu’on passait notre temps à la reluquer sans rien comprendre à ce qu’elle racontait.

Je me suis fait un café avec la cafetière-dinosaure de la mamie, c’est évidemment une infection, mais bon, dans les squats on n’a même pas de café alors je le bois et je réalise que si je n’en ai absolument rien à battre du sort des chats, les trois chiens qui rassasiés viennent me débarbouiller et me japper dessus, ben eux, ça me fait suer de les laisser là.

J’ouvre toutes les fenêtres, les chats pourront sortir le moment venu, quand ils réaliseront que je leur ai servi leur dernier repas mais je sais bien que les chiens ne sauteront pas du troisième étage et je décide de leur ouvrir la porte pour qu’ils s’échappent.

Merde alors, ils ne veulent pas sortir. Ils sont venus sniffer la porte mais ne sont pas sortis, ils restent devant et me regardent de leurs grands yeux.

Armé de mon sopalin je nettoie mes empreintes, la cafetière, les boites à chat dans la poubelle, tout en réfléchissant à une solution pour les chiens. J’ai trouvé, je vais les sortir et les relâcher. Un coup d’œil circulaire, rien à voler et puis de toute façon j’ai dit que j’étais rangé maintenant, je ne vole pas et ce petit meurtre en passant était un accident oui, un accident.

J’appelle les chiens, ils sortent avec moi… bon pour la discrétion c’est carrément loupé, ils jappent partout ces malades. Je sors de l’immeuble et enfourche mon scooter, un des chiens aboie, je démarre et file sans me retourner.

Oh bien sûr que je les ai vus me suivre dans la rue mais j’ai réussi à les semer, je rentre chez momo, je me fais un thé et je recommence mon cv…

Est-ce que les toutous trouveront une nouvelle famille ? La question ne cesse de me hanter, pourtant je n’ai aucun remord pour la vieille et son cerveau écrabouillé, le psy de la zonzon l’a dit, j’ai pas tous les remords au bon endroit, mais il a dit aussi que j’avais un bon fond !

Alors je me concentre et je réponds aux petites annonces, ce n’est pas parce que là, ce matin, j’ai un peu dérapé sur un parking que je ne suis pas un gentil !

Petits meurtres entre voisins

Avertissement : ce texte peut heurter la sensibilité des plus jeunes… A bien y réfléchir, des plus vieux aussi !

Ils s’étaient disputés pour une banale histoire d’enfants bruyants, mais Sophie avait laissé couler et oublié cet accrochage qui datait de plus de 6 mois.

C’était l’anniversaire de son fils cadet, Mars était doux et ensoleillé ils faisaient donc des jeux dans le jardin, courses en sac, corde à tirer, avec moultes cris d’encouragements des équipiers.

Soudain, l’un des invités se plaignit de la tête, quelquechose l’avait cogné et il saignait.

 

Après avoir réconforté et soigné l’enfant, elle trouva dans l’herbe l’objet qui l’avait blessé, un énorme morceau de verre. Elle demanda aux enfants, lequel d’entre eux avait trouvé ce tesson et l’avait jeté sur son camarade, tous nièrent avec ferveur.

Dubitative elle lança l’épreuve suivante qui était une course à l’œuf où chaque équipe devait faire un parcours semé d’embûches en portant un œuf dans une cuillère sans jamais le faire tomber, sous peine de recommencer. Les éclats de rire fusaient, les encouragements et les tentatives d’intimidation de l’équipe adverse aussi, quand soudain, une pluie de tessons de bouteilles et de morceaux de verre s’abattit sur le groupe d’enfant.

Le voisin de derrière, visiblement gêné par le bruit de la fête, lançait des dizaines de morceaux de verres tous plus coupants les uns que les autres par dessus la haie !

 

Affolée, Sophie fit rentrer tous les enfants, s’assura que personne n’était blessé à part un index un peu amoché et elle appela son mari pour lui relater leur mésaventure.

 

Le sang de Paul ne fit qu’un tour et immédiatement il se rendit dans le jardin pour demander des explications à l’agresseur qui, toujours par dessus la haie l’arrosa de projectiles divers et bizarres tous plus dangereux les uns que les autres.

 

L’homme avait clairement perdu la tête et Paul se réfugia rapidement dans la maison avec la ferme intention d’appeler la police, ce qu’il fit au milieu de la fête gâchée et des invités apeurés de son cadet.

 

De sa voix grave et rassurante il réconforta les enfants, le vilain monsieur d’â côté ne les ennuierait plus et la police allait arriver. Oui mais voilà, en pleine campagne, un samedi, le poste de police de garde le plus proche était justement plutôt loin ( réduction du service public oblige).

 

Sophie décida d’amener le gâteau pour détendre l’atmosphère et invitait les enfants à s’installer à table lorsque de violents coups sur la porte d’entrée se firent entendre. Certainement encore ce psychopathe de voisin qui venait chercher la dispute.

 

Paul, bien décidé à le remettre à sa place ouvrit la porte énergiquement mais recula immédiatement de trois pas comme hypnotisé par ce qu’il découvrait.

 

L’homme à la porte était hagard, la bave aux lèvres et après un rictus sadique il commenca à faire tourner une hache en vociférant diverses insultes.

En voulant l’empêcher d’entrer Paul se fit couper deux doigts qu’il regarda, totalement hébété, tomber mollement sous le radiateur de l’entrée, !

 

S’en suivit une bagarre sanguinolante car les phalanges restantes dégoulinaient et éclaboussaient les deux hommes. Mais malgré ses deux doigts manquants, Paul réussit à prendre le dessus et tenta de désarmer son adversaire aux yeux injectés de colère.

 

C’est dans un geste malheureux pour lui retirer enfin sa hache que Paul la planta dans la tête du psychopathe arrosant encore plus copieusement l’entrée d’hémoglobine.

 

L’homme gisait a demi-décapité, saignant comme un poulet pas encore halal, Paul choqué et paniqué par son geste se retourna pour constater que tous les enfants le dévisageaient n’ayant pas perdu une miette du corps à corps sanglant qui venait d’avoir lieu.

 

C’est alors que Sophie, en bonne maîtresse de maison s’adressa en souriant aux enfants : «  vous resterez bien dîner, je pense que je vais préparer un bon bourguignon ».

 

Epilogue : Après avoir fait mijoter et dégusté le voisin, ils décédèrent tous dans les atroces souffrances d’un grave empoisonnement,l’homme était imbibé de médicaments : anxiolitiques, anti-dépresseurs, anti-diarrheïques, anti-fongique, anti-mites, anti-quité… dont le mélange s’avérait un cocktail toxique !

 

Moralité : on dit de gens pénibles qu’ils sont imbuvables, on devrait aussi prévenir que les mauvais voisins ne sont pas comestibles !

 

Donnons du sang : vite ! (rediff)

Saleté de crabe…

Vous êtes une jeune maman de deux ravissantes filles de 3 et 6 ans, vous décidez avec votre chéri de mettre en route le troisième, la grossesse est un peu compliquée, il faut gérer les grandes, le bébé grandit vite, descend vite aussi mais vous assurez.

Vous ne fumez pas, vous ne buvez pas, vous êtes toujours là pour donner un coup de main, organiser le marché de printemps de l’école maternelle, dépanner une copine avec ses monstroux. Vous profitez de votre grossesse pour repeindre votre maison, faire de superbes cadres avec vos filles, vous avez toujours un mot gentil pour tout le monde, toujours la pêche malgré ce gros bidon qui vous tord le dos…

Et puis un jour, vous allez faire une prise de sang banale, le contrôle normal de fin de grossesse pour préparer l’éventuelle péridurale dont vous ne voulez pas, mais bon, bonne fille, vous faites malgré tout la prise de sang…

On vous rappelle deux heures après, y’a un truc louche avec vos résultats, on vous repique, et repique encore et la nouvelle tombe : le crabe est là, bien installé, vous détruisant de l’intérieur sans que vous ne sentiez rien !

C’est le choc ! Les sentiments se bousculent dans votre tête, mais il faut agir vite, sortir le bébé et commencer une chimiothérapie lourde…

Accouchement provoqué, deux jours seulement avec votre nouveau né qui est absolument parfait mais qui ne peut rester avec vous dans votre chambre stérile et doit repartir avec son papa et ses deux sœurs à 80 km de vous.

Et puis commencent les traitements : chimio et transfusions de sang et de plaquettes dont vous avez absolument besoin pour tenir le coup, pour laisser aux médicaments une chance de dégager cette saloperie de crabe.

Vos enfants vous manquent, le traitement vous épuise, vous pensez à ce nouveau-né que vous n’allaiterez pas, à la rentrée des filles pour laquelle vous espérez une « permission », et vous vous battez pour guérir , guérir vite, guérir complètement !

Seulement voilà, ce matin l’infirmière vous a dit d’un air dépité : « on n’a plus qu’une poche de transfusion et trois patients qui en ont besoin, on ne sait pas quoi faire… »

« C’est toujours comme ça l’été a-t-elle ajouté, les donneurs réguliers sont en vacances, les autres n’y pensent pas.»

On vous avait dit de garder le moral, que la lutte contre le cancer passe par un bon « mental » mais comment ne pas craquer lorsque vous ne savez pas combien de temps vous serez soutenue par des transfusions …

Cette histoire est malheureusement celle d’une amie à moi, mais des tas de malades attendent des transfusions chaque jour et l’été est une période creuse pour les banques de sang alors aujourd’hui je fais appel à vous, tous ceux qui me liront mais aussi tous ceux qui voudront bien transmettre mon message : prenez un peu de votre temps pour donner votre sang.

Si vous avez une heure de libre vous pouvez faire un don sanguin, si vous avez trois heures c’est encore mieux, vous pouvez donnez vos plaquettes (même procédure indolore que le sang).

Alors pour Céline, mais aussi pour tous les malades qui attendent, regardez sur ce site où vous pouvez faire un don : http://www.dondusang.net/rewrite/site/37/etablissement-francais-du-sang.htm?idRubrique=756

Et surtout faites passer, partagez ce message afin que la météo du sang ne soit plus « fragile » mais au beau fixe, et que l’on puisse aidez tous les malades dont la survie en dépend…

Merci…

Edit de 2012 : Je remets ce texte car comme tous les étés la météo du sang va être fragile, ma Ratatineuse de Crabe préférée est sur la bonne voie, elle est de retour dans sa famille et espère qu’on lui annoncera très vite une guérison totale… En attendant elle a été super-méga forte (et je lui voue une admiration sans bornes que bien sûr je ne lui avouerai jamais) !

Mais pour tous les autres, ceux qui luttent encore : donnez un peu de votre temps, donnez un peu de votre sang ( ou de vos plaquettes)

Donnons du sang : vite !

Saleté de crabe…

Vous êtes une jeune maman de deux ravissantes filles de 3 et 6 ans, vous décidez avec votre chéri de mettre en  route le troisième,  la grossesse est un peu compliquée, il faut gérer les grandes,  le bébé grandit vite, descend vite aussi mais vous assurez.

Vous ne fumez pas, vous ne buvez pas, vous êtes toujours là pour donner un coup de main, organiser le marché de printemps de l’école maternelle, dépanner une copine avec ses monstroux. Vous profitez de votre grossesse pour repeindre votre maison, faire de superbes cadres avec vos filles, vous avez toujours un mot gentil pour tout  le monde, toujours la pêche malgré ce gros bidon qui vous tord le dos…

Et puis un jour, vous allez faire une prise de sang banale, le contrôle normal de fin de grossesse pour préparer l’éventuelle péridurale dont vous ne voulez pas, mais bon, bonne fille, vous faites malgré tout la prise de sang…

On vous rappelle deux heures après, y’a un truc louche avec vos résultats, on vous repique, et repique encore  et la nouvelle tombe : le crabe est là, bien installé, vous détruisant de l’intérieur  sans que vous ne sentiez rien !

C’est  le choc ! Les sentiments se bousculent dans votre tête, mais il faut agir vite, sortir le bébé et commencer une chimiothérapie lourde…

Accouchement provoqué, deux jours seulement avec votre nouveau né qui est absolument parfait mais qui ne peut rester avec vous dans votre chambre stérile et doit repartir avec son  papa et ses deux sœurs à 80 km de vous.

Et puis commencent les traitements : chimio et transfusions de sang et de plaquettes dont vous avez absolument besoin pour tenir le coup, pour laisser aux médicaments une chance de dégager cette saloperie de crabe.

Vos enfants vous manquent, le traitement vous épuise, vous pensez à ce  nouveau-né que vous n’allaiterez pas, à la rentrée des filles pour laquelle vous espérez une «  permission »,  et vous vous battez pour guérir , guérir vite, guérir complètement !

Seulement voilà, ce matin l’infirmière vous a dit d’un air dépité : « on n’a plus qu’une poche de transfusion et trois patients qui en ont besoin, on ne sait pas quoi faire… »

« C’est toujours comme ça l’été a-t-elle ajouté, les donneurs réguliers sont en vacances, les autres n’y pensent pas.»

On vous avait dit de garder le moral, que la lutte contre le cancer passe par un bon « mental » mais comment ne pas craquer lorsque vous ne savez pas combien de temps vous serez soutenue par des transfusions …

Cette histoire est malheureusement celle d’une amie à moi, mais des tas de malades attendent des transfusions chaque jour et l’été est une période creuse pour les banques de sang alors aujourd’hui je fais appel à vous, tous ceux qui me liront mais aussi tous ceux qui voudront bien transmettre mon message : prenez un peu de votre temps pour donner votre sang.

Si vous avez une heure de libre vous pouvez faire un don sanguin, si vous avez trois heures c’est encore mieux, vous pouvez donnez vos plaquettes  (même procédure indolore que le sang).

Alors pour Céline, mais aussi pour tous les malades qui attendent, regardez sur ce site où vous pouvez faire un don : http://www.dondusang.net/rewrite/site/37/etablissement-francais-du-sang.htm?idRubrique=756

Et surtout faites passer, partagez ce message afin que la météo du sang ne soit plus «  fragile » mais au beau fixe, et que l’on puisse aidez tous les malades dont la survie en dépend…

Merci…