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Quand je m’éclate avec mon Multichef 5 en 1 dBb.

Récemment j’ai reçu un Multichef 5 en 1 de chez dBd à tester ( produit offert : merci) et depuis je m’amuse comme une petite folle.

C’est un robot qui malgré sa petite taille sait tout faire, et en plus il est beau, ce qui ne gâche rien.

Bien évidemment je n’ai pas testé les fonctions de stérilisation et de chauffage de biberon ou petit pots mais j’utilise toutes les autres.

J’ai commencé par la cuisson vapeur de mes différents légumes et j’ai vraiment apprécié la simplicité d’utilisation. Les commandes sont simples et claires sur l’écran LCD et surtout l’appareil s’arrête tout seul en fin de cuisson ce qui me permets de faire autre chose, genre surveiller que Petit Monstrou n’a pas encore inondé l’intégralité de la salle de bain.

brocolis

La petite taille du bol de cuisson ( 1000ml) ne me gène pas car les lundis et jeudis je fais au minimum deux services pour le diner pour cause de Judo, quand ce n’est pas trois avec l’arrivée tardive de Mr Poux.

En plus on peut faire cuire plusieurs sortes de légumes avec deux compartiments supplémentaires de 350 et 150 ml.

J’apprécie aussi beaucoup la fonction décongélation qui me fait gagner énormément de temps. Pour cause d’allergie au gluten, je prépare moi même mes poêlées de légumes ( parce que les producteurs ne trouvent rien de mieux que d’ajouter de la farine dans les mélanges de légume pour que ça pèse plus lourd).

Je gagne donc un temps fou, je décongèle quelques chous, carottes, haricots verts, champignons etc et je les passe ensuite à la poêle.

pommesmasterchef

J’ai également testé les couteaux pour mixer mes bananes avec un peu de sucre ou pour faire un compote maison après avoir cuit mes pommes à la vapeur.

Bien entendu ça fonctionne aussi avec les poires, les kiwis et même les quelques fraises du jardin de Papounet que j’avais congelées.

Bon par contre, impossible ensuite de remplir une pompote…

pompote

Mais les Monstroux adorent manger la compote encore tiède en rentrant de l’école, et du coup ils mangent plus de fruits car ils sont impatient de savoir ce que j’ai préparé comme mélange.

Le multichef 5 en 1 a donc été testé et approuvé et il a sa place permanente sur mon plan de travail. ( et bien entendu tous les bols de cuisson passent au lave-vaisselle)

Mutichef dBb

Prix public indicatif : 120 €

En magasin spécialisés

www.dBb-remond.fr

SOS cuisine

Pendant les soldes, j’ai acheté des choux-fleurs congelés (oui je sais, vous êtes contents de le savoir) ( y’en a qui achètent des talons hauts, moi ce sont des choux, chacun ses priorités) ( bon et sinon il va falloir que j’arrête les parenthèses, je ne suis même pas payée plus cher si je les utilise) ( on me fait remarquer que de toute façon je ne suis PAS payée pour faire ce blog).

Donc, revenons à mes choux pour mes monstroux ! Au moment de les préparer, une de mes amies était là et on s’est bien marrées en lisant les instructions de préparation : Micro ondes… gna gna gna, percer le sachet. Poêle ou casserole : sans le sachet, quelques minutes avec une cuillère d’eau.

La vilaine moqueuse que je suis s’est immédiatement demandé QUI pouvait envisager de balancer le sachet plastique et ses choux directement dans une poêle ou une casserole…

Un ado livré à lui-même dans une cuisine ? Peine perdue pour la marque et ses explications, un ado même affamé ne sortira JAMAIS des choux-fleurs du congélateur pour se sustenter ! Plutôt faire livrer une pizza, ou dévorer le stock de BN des petits frères.

Une cuisinière très très débutante ? Peut-être… mais alors très très isolée hein ! Une qui n’a ni internet ni téléphone, pas d’amie ni de voisin à qui poser les questions saugrenues qui peuvent nous passer par la tête quand on commence à vouloir se nourrir par soi-même (d’autre chose que de Curly et de tablettes de chocolat j’entends).

Quand je me suis retrouvée en appart à 17 ans, il n’y avait pas internet mais OUF on avait l’électricité ET le téléphone ( et non, je précise pour Grand Monstrou, ce n’était pas le temps des dinosaures) et au bout du fil il y avait Mamina  renommée pour l’occasion : S.O.S Cuisine.

C’est toujours mon père qui décroche (il court plus vite), mais il suffisait que je dise  » allo S.O.S cuisine » pour qu’il me passe ma Maman, à qui je posais toutes mes questions existentielles pour préparer tel ou tel plat.

Lorsque nous vivions aux USA, c’était un peu plus compliqué parce que lorsque je préparais mon dîner, c’était la nuit en France et du coup je ne pouvais pas appeler SOS cuisine, mais depuis notre retour, le service à repris de plus belle, c’est l’occasion de se faire un ptit coucou et puis surtout, qui pourrait mieux expliquer comment faire tel ou tel plat qu’une Maman ?

Alors, merci Mamina-S.O.S Cuisine d’être toujours là pour répondre à mes questions saugrenues !

Et vous ? Vous faites comment quand vous avez un doute au moment du dîner ? Facebook ? Marmiton ? Twitter ? Ou vous avez aussi votre S.O.S cuisine personnel ?

 

Bon appétit ! 津津有味

Dans les « hutong », petites ruelles traditionnelles chinoises, on peut se restaurer à tout moment.

Les vendeurs crient pour appâter le client qui ne se fait pas prier pour acheter l’une de ces délicieuses brochettes à consommer en poursuivant son chemin…

Oui, ce sont bien des scorpions et là vous voyez leurs petites queues redressées parce qu’ils sont VIVANTS ! Bien sûr si vous avez le courage d’en demander on vous les fera griller sur la plaque derrière, mais en attendant ils se tortillent sur leur brochette ce qui les rend pour certains encore plus appétissant et dans mon cas encore plus répugnants !

Si vous avez une grosse faim, vous pouvez opter pour de plus gros scorpions…

Ceux-là sont présentés déjà cuits mais ils attirent tout de même beaucoup de gourmands/gourmets.  Si comme moi, les scorpions vous dégoutent et que vous ne pouvez vous résoudre à y goûter, vous pouvez acheter d’autres sortes de brochettes :

A gauche et à droite ce sont des larves, ou des vers, comme je ne parle toujours pas Chinois je n’ai pas pu me faire expliquer ce que c’était, en même temps je n’avais absolument pas l’intention d’y goûter. Au centre ce sont de très jolis mille-pattes bleus, très certainement délicieux vu le nombre de gens qui en mangeaient en marchant…

Mr Poux pense que les grosses bestioles du milieu sont des chauve-souris, mais toujours à cause de la barrière de la langue, nous n’avons pas pu avoir confirmation d’autant plus qu’à chaque fois qu’on s’approchait, les vendeurs voulaient absolument qu’on achète une de leur spécialité.

Désolée, on ne voit pas très bien mais les répugnantes bestioles sur la droite sont des cafards… je précise qu’à cet endroit là de la rue et malgré les bonnes odeurs de grillades qui nous chatouillaient les narines, je n’avais plus faim du tout !

Oui, vous voyez bien ce sont des tarentules ! Personnellement je les préfère là, bien empalées sur une brochette que la dernière fois que j’en avais croisé, bien vivantes et traversant la route au Mexique à Chichen-Itza dans la région du Yucatán.

J’ai sélectionné ces photos parce qu’elles sont les plus  » surprenantes » pour nous Européens, mais je tiens à préciser que dans cette ruelle il n’y a que des stands de nourriture dont la plupart étaient appétissants : brochettes de viande, Kebab, stands de soupes, de poulet (enfin je crois) mijoté en sauce, stand de pâtes et même si les bestioles affichées plus haut ne nous ont pas ouvert l’appétit, les odeurs de la ruelle étaient fort alléchantes.

D’ailleurs pour terminer sur un touche plus « soft » voici quelques un des desserts que l’on pouvait acheter :

Je vous l’accorde, le maïs n’est pas vraiment un dessert mais les Chinois en raffolent, ils en mangent à toute heure du jour.

Hummm les bonnes fraises recouvertes de sucre !

A priori,  ces pots contiennent du lait, ce dont je ne suis pas sûre c’est si c’est juste du lait ou une sorte de yaourt liquide, c’est l’inconvénient d’être totalement illettrée et de ne rien comprendre aux idéogrammes expliquant la composition des pots.

Ici ce sont des brochettes « fraises-ananas » mais en fait ils proposent toutes sortes de fruits, recouverts de sucre à la façon des pommes d’amour. Il y avait peu de stands de fruit dans ce hutong qui semblait plus destiné aux plats de résistance, mais on peut acheter des brochettes de fruits à peu près partout dans Pékin, sur les grandes avenues, dans les centres commerciaux, à la sortie du métro…

Une fois rassasiés (ou pas !), on pouvait prendre la rue perpendiculaire à celle de la nourriture pour acheter (ou pas !) des souvenirs. Comme vous pouvez le constater, nous n’étions pas vraiment seuls !

Bon alors ? ça vous a ouvert l’appétit ou pas cette petite visite des spécialités chinoises ?