retour de Tunisie : visite aux urgences.

Dernier soir en Tunisie, nous sommes un peu tristes de repartir dès le lendemain mais aussi soulagés que tout se soit bien passé et bien plus reposés et détendus que l’été dernier.

Mr Poux boucle les valises tandis que je couche les enfants quand je vois une marque rouge sur le front de Petit Monstrou. C’est rond, un peu gonflé mais pas trop, impossible de savoir s’il s’agit d’une bosse ou d’une (grosse) piqûre de (gros) moustique qui aurait provoqué une (grosse) réaction.

Je questionne Petit Monstrou  qui ne se souvient plus s’il est tombé ou s’il s’est cogné, dans le doute je mets deux sortes de crèmes sur la rougeur : une pour les piqûres et une pour les coups et bosses.

Naïve je me dis que s’il avait fait une grosse chute au mini-club les animatrices me l’auraient dit…Takacroire !

Complètement indifférents à la victoire de l’Espagne ce soir là, on se couche car la journée suivante promet d’être longue et pénible : bus, attente, avion, attente des bagages, navette, et minimum une heure de voiture pour rentrer chez nous selon l’état du trafic.

Le lendemain juste au moment de prendre le bus, je me rends compte que la bosse à un peu gonflé, trop tard pour remettre de l’Hémoclar, le tube est dans la valise. Je fais remarquer à Mr Poux que normalement une bosse ça diminue au fil des heures mais bon, avec Petit Monstrou on peut s’attendre à tout !

Quelques heures plus tard, alors que Petit Monstrou se penche contre le hublot pour voir la terre d’en haut, je constate, grâce à la luminosité plus forte à cet endroit là, que la bosse est devenue énorme. Je ne peux rien faire d’autre que de la bile et croyez moi j’en fais… ça tourne à toute vitesse dans ma tête : «  qu’est-ce qu’il nous a encore inventé ? ». Au passage je maudis ces imbéciles d’animatrices qui n’ont pas été foutues de nous dire que notre Monstrou était tombé sur la tête. C’est grand Monstrou qui me l’a confirmé, il est tombé sur la tête, sur une grosse pierre…Ben oui, tomber seulement sur le sol aurait été d’un banal… Je n’ai pas vu le lieu de la chute, mais je suis certaine qu’il n’y avait qu’UNE SEULE pierre. C’est bien entendu à cet endroit là qu’il a « choisi » de tomber !

De retour à la maison je le tartine d’hémoclar et cette fois je dois faire presque la moitié du front et une partie des cheveux. Je ne suis pas rassurée du tout en me couchant et je l’ai « chatouillé » plusieurs fois dans la nuit pour vérifier que tout allait bien.

Le lendemain il se lève en même temps que moi ( traduction : c’est lui qui m’a sortie du lit ) et se montre d’excellente humeur. Nous prenons notre café-chocolat tous les deux dans la pénombre de la maison et ce n’est qu’une demi-heure plus tard lorsqu’il me suivra dans le jardin pour étendre la première d’une longue série de panières de linge que je constaterai l’étendue des dégâts.

Au soleil on dirait elephant-man ! La bosse est maintenant toute rouge, d’un diamètre de 5 cm elle descend jusqu’au dessus de son œil. Mr Poux muni, comme chacun sait, d’un formidable sens de l’observation me dit «  ça ce n’est pas normal ».  noooon ? Sans déconner ? Pas normal ? t’es sûr ?

Je suis déjà au bord de l’apoplexie, mon tout petit est abîmé, ces connasses d’animatrices me l’ont cassé et si ça se trouve il va avoir plein de séquelles toutes plus catastrophiques les unes que les autres. On part consulter immédiatement.

Aussi positive que de coutume, j’envisage donc le pire durant les vingt minutes de trajet pour les urgences.  Nous arrivons aux urgences pédiatriques et là, après m’avoir dit que mon minuscule poussin, mon «  tout-petit » ne dépendait plus de ce service là (trop grand qu’elles ont dit), l’une des infirmière me dit «  en effet c’est une grosse bosse, on lui fera surement passer un ptit scanner pour vérifier s’il n’y a pas une poche de sang la dessous ».

Dire que je n’en menais pas large est un euphémisme car rien qu’au mot scanner,  j’ai manqué défaillir dans le hall, en même temps, vu mon grand âge si j’étais tombée dans les pommes aux urgences pédiatriques on m’aurait surement laissée sur place : trop vieille on vous dit !

Petit Monstrou lui par contre est en pleine forme, il sait qu’il vient montrer sa bosse qui n’est pas «  comme d’habitude » (et pourtant il en a collectionné un paquet déjà), mais il panique un peu en arrivant aux vraies urgences.

Il faut dire qu’on arrive juste après une pauvre mère en larmes qui explique tout ce que son fils allongé dans un brancard a ingurgité comme médicaments. Le jeune homme a en effet l’air bien «  parti » et Petit Monstrou me dit «  il n’a pas l’air en forme le monsieur ». Ca l’impressionne tellement qu’il ne veut plus du tout montrer sa bosse  et me tire le bras pour repartir. J’avoue que même si je compatis beaucoup pour la pauvre dame, j’espère  qu’ils seront  rapidement pris en charge pour éviter de trop bouleverser mon petit blessé.

Notre tour arrive, il faut d’abord donner tous les papiers mais comme on est déjà clients ( 2 points de suture à 22 mois dont un qu’il a arraché dans la nuit parce qu’il le « gênait » ) mon Monstrou est déjà  fiché et ça va très vite. Ce qui ne va pas vite par contre, c’est l’attente dans une salle pour voir un docteur, ou du moins être VU par un docteur (parce que c’est bien de ça qu’il s’agit ! ).

A défaut d’être zen, je suis organisée (enfin sur ce coup là), j’ai embarqué en partant une provision de livres, le doudou pour réconforter, de l’eau, et même des petits gâteaux  que je n’oserai pas lui donner de peur qu’on doive l’opérer d’urgence (toujours mon côté positif).

Après avoir lu tous les livres dont certains deux fois, cherché plein de mots commençant pas L, par T etc. On fait les couillons dans la salle et on est en pleine partie de «  pirates en exploration » lorsque la doctoresse arrive DEUX HEURES TRENTE plus tard.

Je pense qu’elle n’a pas touché mon fils une seule fois, elle était trop loin pour cela, elle m’a dit qu’elle l’avait entendu jouer, rire, parler et que puisqu’il n’avait pas vomi ni perdu connaissance TOUT ALLAIT BIEN et elle m’a dit de mettre de l’hémoclar et de la glace sur cette vilaine bosse qui allait finir par se résorber.

Bien entendu j’ai oublié de demander comment elle expliquait que cette bosse grossisse au lieu de diminuer et je suis rentrée à demi rassurée. Et si elle s’était trompée ?

Nous l’avons surveillé toute la journée comme de l’huile sur le feu histoire qu’il ne nous fasse pas une nouvelle cascade et le soir nous avons constaté dépités que l’hématome-bosse descendait effectivement jusqu’à son oeil. Je l’ai de nouveau embêté dans la nuit pour vérifier si tous les reflexes étaient là et le lendemain : HOURRA la bosse avait un peu diminué.

Enfin jusqu’à 11H00, lorsqu’il a «  trébuché » ( c’est lui qui le dit) dans l’escalier et qu’il en a descendu l’intégralité sur la tête, le dos, les jambes sous nos yeux effarés.

Trop loin pour le rattraper je me suis contenté d’assister à la chute en hurlant, c’était trop pour moi après ces dernières 48 heures d’inquiétude ! Mes jambes ne me portaient plus, j’étais incapable d’aller le ramasser,  et je l’ai un peu plus terrorisé car je ne pouvais plus m’arrêter de crier.  C’est donc Mr Poux qui l’a récupéré et qui m’a forcée à m’asseoir car Petit Monstrou voulait être avec moi.

Lorsque au prix d’un immense effort j’ai réussi à me calmer je lui ai demandé où il avait mal (persuadée qu’il était cassé de partout) : « j’ai pas de bobo, je voulais juste que tu me rattrapes ».

En fait il avait une seconde bosse sur la partie encore intacte du front et un peu mal à une cheville mais rien de plus et l’ancienne bosse a continué de rétrécir, lentement mais surement.

Depuis :

-j’ai demandé une pension alimentaire à Pierre Richard car je suis certaine que mon fils est le digne descendant du «  Grand blond à la chaussure noire » ou de «  la chèvre ».

-j’ai laissé un gentil petit message sur le site de l’hôtel de Tunisie pour les prévenir que leurs abruties d’animatrices étaient dangereuses, inconsciente, incompétentes…

– Et bien sur j’ai de nouveau acheté des actions chez Hémoclar dont je suis une des plus grosses clientes.

Dernier soir en Tunisie, nous sommes un peu tristes de repartir dès le lendemain mais aussi soulagés que tout se soit bien passé et bien plus reposés et détendus que l’été dernier.

Mr Poux boucle les valises tandis que je couche les enfants quand je vois une marque rouge sur le front de Petit Monstrou. C’est rond, un peu gonflé mais pas trop, impossible de savoir s’il s’agit d’une bosse ou d’une (grosse) piqûre de (gros) moustique qui aurait provoqué une (grosse) réaction.

Je questionne Petit Monstrou qui ne se souvient plus s’il est tombé ou s’il s’est cogné, dans le doute je mets deux sortes de crèmes sur la rougeur : une pour les piqûres et une pour les coups et bosses.

Naïve je me dis que s’il avait fait une grosse chute au mini-club les animatrices me l’auraient dit…Takacroire !

Complètement indifférents à la victoire de l’Espagne ce soir là, on se couche car la journée suivante promet d’être longue et pénible : bus, attente, avion, attente des bagages, navette, et minimum une heure de voiture pour rentrer chez nous selon l’état du trafic.

Le lendemain juste au moment de prendre le bus, je me rends compte que la bosse à un peu gonflé, trop tard pour remettre de l’Hémoclar, le tube est dans la valise. Je fais remarquer à Mr Poux que normalement une bosse ça diminue au fil des heures mais bon, avec Petit Monstrou on peut s’attendre à tout !

Quelques heures plus tard, alors que Petit Monstrou se penche contre le hublot pour voir la terre d’en haut, je constate, grâce à la luminosité plus forte à cet endroit là, que la bosse est devenue énorme. Je ne peux rien faire d’autre que de la bile et croyez moi j’en fais… ça tourne à toute vitesse dans ma tête : «  qu’est-ce qu’il nous a encore inventé ? ». Au passage je maudis ces imbéciles d’animatrices qui n’ont pas été foutues de nous dire que notre Monstrou était tombé sur la tête. C’est grand Monstrou qui me l’a confirmé, il est tombé sur la tête, sur une grosse pierre…Ben oui, tomber seulement sur le sol aurait été d’un banal… Je n’ai pas vu le lieu de la chute, mais je suis certaine qu’il n’y avait qu’UNE SEULE pierre. C’est bien entendu à cet endroit là qu’il a « choisi » de tomber !

De retour à la maison je le tartine d’hémoclar et cette fois je dois faire presque la moitié du front et une partie des cheveux. Je ne suis pas rassurée du tout en me couchant et je l’ai « chatouillé » plusieurs fois dans la nuit pour vérifier que tout allait bien.

Le lendemain il se lève en même temps que moi ( traduction : c’est lui qui m’a sortie du lit ) et se montre d’excellente humeur. Nous prenons notre café-chocolat tous les deux dans la pénombre de la maison et ce n’est qu’une demi-heure plus tard lorsqu’il me suivra dans le jardin pour étendre la première d’une longue série de panières de linge que je constaterai l’étendue des dégâts.

Au soleil on dirait elephant-man ! La bosse est maintenant toute rouge, d’un diamètre de 5 cm elle descend jusqu’au dessus de son œil. Mr Poux muni, comme chacun sait, d’un formidable sens de l’observation me dit «  ça ce n’est pas normal ». noooon ? Sans déconner ? Pas normal ? t’es sûr ?

Je suis déjà au bord de l’apoplexie, mon tout petit est abîmé, ces connasses d’animatrices me l’ont cassé et si ça se trouve il va avoir plein de séquelles toutes plus catastrophiques les unes que les autres. On part consulter immédiatement.

Aussi positive que de coutume, j’envisage donc le pire durant les vingt minutes de trajet pour les urgences. Nous arrivons aux urgences pédiatriques et là, après m’avoir dit que mon minuscule poussin, mon «  tout-petit » ne dépendait plus de ce service là (trop grand qu’elles ont dit), l’une des infirmière me dit «  en effet c’est une grosse bosse, on lui fera surement passer un ptit scanner pour vérifier s’il n’y a pas une poche de sang la dessous ».

Dire que je n’en menais pas large est un euphémisme car rien qu’au mot scanner, j’ai manqué défaillir dans le hall, en même temps, vu mon grand âge si j’étais tombée dans les pommes aux urgences pédiatriques on m’aurait surement laissée sur place : trop vieille on vous dit !

Petit Monstrou lui par contre est en pleine forme, il sait qu’il vient montrer sa bosse qui n’est pas «  comme d’habitude » (et pourtant il en a collectionné un paquet déjà), mais il panique un peu en arrivant aux vraies urgences.

Il faut dire qu’on arrive juste après une pauvre mère en larmes qui explique tout ce que son fils allongé dans un brancard a ingurgité comme médicaments. Le jeune homme a en effet l’air bien «  parti » et Petit Monstrou me dit «  il n’a pas l’air en forme le monsieur ». Ca l’impressionne tellement qu’il ne veut plus du tout montrer sa bosse et me tire le bras pour repartir. J’avoue que même si je compatis beaucoup pour la pauvre dame, j’espère qu’ils seront rapidement pris en charge pour éviter de trop bouleverser mon petit blessé.

Notre tour arrive, il faut d’abord donner tous les papiers mais comme on est déjà clients ( 2 points de suture à 22 mois dont un qu’il a arraché dans la nuit parce qu’il le « gênait » ) mon Monstrou est déjà fiché et ça va très vite. Ce qui ne va pas vite par contre, c’est l’attente dans une salle pour voir un docteur, ou du moins être VU par un docteur (parce que c’est bien de ça qu’il s’agit ! ).

A défaut d’être zen, je suis organisée (enfin sur ce coup là), j’ai embarqué en partant une provision de livres, le doudou pour réconforter, de l’eau, et même des petits gâteaux que je n’oserai pas lui donner de peur qu’on doive l’opérer d’urgence (toujours mon côté positif).

Après avoir lu tous les livres dont certains deux fois, cherché plein de mots commençant pas L, par T etc. On fait les couillons dans la salle et on est en pleine partie de «  pirates en exploration » lorsque la doctoresse arrive DEUX HEURES TRENTE plus tard.

Je pense qu’elle n’a pas touché mon fils une seule fois, elle était trop loin pour cela, elle m’a dit qu’elle l’avait entendu jouer, rire, parler et que puisqu’il n’avait pas vomi ni perdu connaissance TOUT ALLAIT BIEN et elle m’a dit de mettre de l’hémoclar et de la glace sur cette vilaine bosse qui allait finir par se résorber.

Bien entendu j’ai oublié de demander comment elle expliquait que cette bosse grossisse au lieu de diminuer et je suis rentrée à demi rassurée. Et si elle s’était trompée ?

Nous l’avons surveillé toute la journée comme de l’huile sur le feu histoire qu’il ne nous fasse pas une nouvelle cascade et le soir nous avons constaté dépités que l’hématome-bosse descendait effectivement jusqu’à son oeil. Je l’ai de nouveau embêté dans la nuit pour vérifier si tous les reflexes étaient là et le lendemain : HOURRA la bosse avait un peu diminué.

Enfin jusqu’à 11H00, lorsqu’il a «  trébuché » ( c’est lui qui le dit) dans l’escalier et qu’il en a descendu l’intégralité sur la tête, le dos, les jambes sous nos yeux effarés.

Trop loin pour le rattraper je me suis contenté d’assister à la chute en hurlant, c’était trop pour moi après ces dernières 48 heures d’inquiétude ! Mes jambes ne me portaient plus, j’étais incapable d’aller le ramasser, et je l’ai un peu plus terrorisé car je ne pouvais plus m’arrêter de crier. C’est donc Mr Poux qui l’a récupéré et qui m’a forcée à m’asseoir car Petit Monstrou voulait être avec moi.

Lorsque au prix d’un immense effort j’ai réussi à me calmer je lui ai demandé où il avait mal (persuadée qu’il était cassé de partout) : « j’ai pas de bobo, je voulais juste que tu me rattrapes ».

En fait il avait une seconde bosse sur la partie encore intacte du front et un peu mal à une cheville mais rien de plus et l’ancienne bosse a continué de rétrécir, lentement mais surement.

Depuis :

-j’ai demandé une pension alimentaire à Pierre Richard car je suis certaine que mon fils est le digne descendant du «  Grand blond à la chaussure noire » ou de «  la chèvre ».

-j’ai laissé un gentil petit message sur le site de l’hôtel de Tunisie pour les prévenir que leurs abruties d’animatrices étaient dangereuses, inconsciente, incompétentes…

– Et bien sur j’ai de nouveau acheté des actions chez Hémoclar dont je suis une des plus grosses clientes.

14 réflexions sur « retour de Tunisie : visite aux urgences. »

  1. Souvenir du mien qui avait dévalé tout l’escalier en roulé-boulé à l’âge de 2 ans !!!
    Heureusement il était en bois (l’escalier) et il y avait un tapis en plus !!!

    1. escalier en bois ici aussi mais sans tapis…ce n’est pas la première fois qu’il rate une marche mais là c’était la seconde en haut… ça fait une longue chute !

  2. D’un autre côté, il fallait bien qu’il respecte la tradiction familiale d’aller aux urgences en rentrant des vacances 🙂

    Et en plus, il aime la symétrie ce petit 🙂

    Contente en tous cas, de voir qu’il y a eu plus de peur que de mal !

    1. Et oui cette fameuse tradition familiale du gamin malade au retour…
      Plus de peur que de mal pour cette fois… j’ai acheté un rouleau de papier bulle pour le reste de l’été 🙂

  3. Très bel article, même si je n’aurai (pour rien au monde) voulu être à ta place.
    J’ai ri en ayant les larmes aux yeux, …moi aussi j’ai 2 « Monstrous » un de 3 an 1/2 et le deuxième de 1 an qui actuellement a la varicelle…donc forcément on s’identifie.
    Bon courage

    1. Merci Emilie 🙂

      Je ne voudrais pas vous faire peur mais avec des monstroux si proches quand l’un attrape quelque chose, l’autre suit… Dix jours après je crois pour la varicelle… Bon courage !

  4. PAS QUESTION, on part en vacances dans 10 jours, il a interdiction formel d’être malade !!!
    De toute façon, le plus grand a été vacciné et a eu 2 boutons lors d’une précédente épidémie à la crèche…donc normalement, c’est bon…et c’est pas plus mal qu’il l’ait eu « un peu » car comme ça il n’aura pas les rappels….Finalement le vaccin pour la varicelle, je suis pas sûre que ce soit une bonne idée, car après c’est rappel tout les 5 ans, donc si à l’age adulte on oublie de le faire, on peut l’attraper et c’est bien connu que la varicelle à l’age adulte c’est plus dangereux…Mais bon, à l’époque, la pédiatre m’a dis « On va le vacciner contre la varicelle », moi j’ai dis OK, le médecin c’est elle, elle doit savoir…finalement je me demande si elle n’a pas des actions dans des boites pharmas…
    Bref, des Monstrous rapprochés c’est Génial, mais c’est aussi du Stress

    1. Ah bon, il y a des rappels ? Mon Grand a été vacciné contre la varicelle aux USA mais on ne m’a pas parlé de rappel tous les 5 ans… ( Ceci dit à tous les coups ils lui ont envoyé une dose de cheval, ils sont accros aux vaccins là-bas).
      Pour les monstroux rapprochés je te bats, le miens ont 17 mois d’écart !
      Bonnes vacances 🙂

  5. je vais me répéter (par rapport à l’an passé) : vu la « malédiction » qui s’abat sur toi à chaque vacances, il ne faut pas que tu rentres ! Essaies le lot, ça te permettra d’être en vacances toute l’année…..

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